Lecture et discussion avec le poète Klaus Merz et sa traductrice Marion Graf
Le quotidien devient poésie sous la plume de Klaus Merz. Tout est matière à littérature ; un représentant en cosmétique, un téléphone portable, des talons aiguilles croisent dans ses textes des éléments plus classiquement poétiques, comme la nuit, les rêves, le deuil. En français, Marion Graf crée une langue qui révèle des aspects cachés des poèmes qu’elle interprète autant qu’elle transpose. Lecture et discussion dans le cadre de la série de rencontre « Ces voisins inconnus ».
En collaboration avec la Literaturhaus de Zurich, la BCU Lausanne et le soutien de la Fondation Oertli.
Deuxième rencontre le 29 septembre à 16h45 à Genève (Bains des Pâquis, Poésie en ville)