Outre la maîtrise de la langue dominante dans le lieu d’études, quels sont les facteurs subjectifs, sociaux, politiques ou économiques qui influencent l’accès aux études supérieures et la réussite de celles-ci par des étudiant·e·s en situation migratoire ? Et quelle(s) rôle(s) y joue la langue, au fond ?
9.00-9.15 Introduction
9.15-9.45 Martina Zimmermann, HEP Luzern
« Ticinità mobile » : Faire face à la mobilité estudiantine à l’intérieur de la Suisse
9.45-10.15 Malika Ben Harrat, Université de Lausanne
Attentes et réalités de la formation universitaire FLE d’étudiant-e-s en transition académique
10.15-10.45 Anne-Christel Zeiter, Université de Lausanne
Etudiant·e·s, migrant·e·s, alloglottes ? Étudier à l’université dans une autre langue
10.45-11.15 Pause-café
11.15-11.45 Philippe Hambye, Université Catholique de Louvain
Les politiques d'intégration linguistique à la lumière du paradigme de l'insertion socioprofessionnelle : déqualification, responsabilisation, contractualisation
11.45-12.15 Isabelle Violette, Université de Moncton
Immigration étudiante, employabilité et investissement langagier : le cas des étudiants africains francophones en contexte bilingue néo-brunswickois (Canada)
12.15-14.00 Pause de midi
14.00-14.30 Gaële Goastellec, Université de Lausanne
Deux ou trois choses que je sais de lui : l’accès des exilés à l’université
14.30-15.00 Mathieu Crettenand, Université de Genève
Programme Horizon académique, l’université comme interface vers la cité
15.00-15.15 Pause
15.15-16.00 Marie Saulnier Bloch, Insertion Vaud
Synthèse et discussion
Inscription souhaitée d’ici au 10 mai 2019
anne-christel.zeiter-grau@unil.ch